Montréal, le 10 janvier 2018 – L’Alliance de la Fonction publique du Canada, région du Québec (AFPC-Québec) est fière d’annoncer qu’une entente est récemment survenue entre l’administration du CPE du Complexe Guy-Favreau situé à Montréal et Services publics et Approvisionnement Canada (SPAC).
« C’est une victoire importante pour nos membres et une excellente nouvelle pour les familles qui bénéficient des excellents services offerts par le CPE, s’enthousiasme Magali Picard, vice-présidente exécutive régionale de l’AFPC-Québec. Voilà une autre preuve qu’en se mobilisant, on peut réaliser de grandes choses. »
Grâce à la mobilisation des familles et de l’administration du CPE et au soutien technique de l’AFPC, SPAC a finalement accepté de combler le manque à gagner du CPE pour les années 2017 et 2018. Près de 80 enfants fréquentent le CPE et la grande majorité de leurs parents travaillent pour la fonction publique fédérale.
Rappelons que le nouveau coût du loyer du CPE était au centre de cette crise financière. Le loyer du CPE était passé en 2017 de 0 $ à 200 000 $ à cause d’une nouvelle pratique de SPAC. Malgré une subvention de Québec, le CPE devait s’organiser pour trouver chaque année environ 80 000 $ afin de payer son loyer. Malgré une politique claire, SPAC refusait d’octroyer le financement nécessaire.
« Nous continuerons de collaborer avec les familles et l’administration du CPE pour trouver une solution de financement à long terme, ajoute madame Picard. Il est capital pour les familles que le gouvernement et SPAC respectent leur politique sur les garderies en milieu de travail. »
« Justin Trudeau et son gouvernement ont le pouvoir d’aider concrètement ces familles de la classe moyenne. Nous n’attendons rien de moins qu’un engagement à long terme avec le CPE », conclut la représentante syndicale.
Renseignements et entrevues :
Patrick Leblanc, AFPC-Québec
514-706-5997 | leblanp@psac-afpc.com
Profil de l’AFPC-Québec
L’AFPC représente plus de 180 000 membres au Canada. Affiliée à la FTQ, l’AFPC–Québec regroupe plus de 40 000 membres, dont des fonctionnaires fédéraux et 25 000 personnes travaillant dans les universités québécoises.