Yvon Barrière, réélu vice-président exécutif régional de l’AFPC-Québec

Les délégué.e.s réuni.e.s au 10e congrès triennal de l’AFPC-Québec ont réélu Yvon Barrière pour un deuxième mandat qui se poursuivra jusqu’en 2023.

La Consoeur Annick Lamoureux de la section locale SEI-10008 a été élue, pour sa part, au poste de vice-présidente exécutive régionale suppléante. Annick est vice-présidente du Conseil régional des 3L Abitibi-Témiscamingue et fait partie des comités de la condition féminine et d’équité pour la même région. Elle siège aussi au comité de la condition féminine de la FTQ pour la région Laurentides-Lanaudière.

Ce sont 183 délégués.es et 34 observateurs qui ont participé au premier congrès triennal virtuel de l’histoire de l’AFPC-Québec, tenu du 17 au 20 juin.

« Je suis heureux que les délégués.es m’aient choisi pour un deuxième mandat. Je les remercie de leur confiance. Je suis aussi emballé de pouvoir continuer le travail amorcé en juin 2018! » Yvon Barrière, réélu VPER.

Avant sa première élection au poste de VPER de l’AFPC-Québec, Yvon était le vice-président régional du Syndicat des employés de la sécurité et de la justice (SESJ) depuis 2014. Lorsqu’il occupait ses fonctions d’agent de programmes correctionnels de 2002 à 2014, Yvon était reconnu pour sa capacité d’empathie et ses interventions constructives auprès de la communauté carcérale.

« Nous avons beaucoup de pain sur la planche et je suis heureux de me lancer avec vous avec confiance et détermination dans les défis qui nous attendent. Plus nous serons unis et forts, plus nos victoires seront grandes et nombreuses. Nous avons déjà démontré que nous pouvons faire de grandes choses quand on se serre les coudes et qu’on pousse ensemble dans la même direction. »

Au plan national, Yvon copréside le dossier des langues officielles et des sections locales à charte directe et il est affecté à la table de négociation du groupe EB.

« Je souhaite améliorer le service aux membres partout au Québec. Très rapidement, nous devrons aussi nous préparer aux élections fédérales et, pas longtemps après, aux provinciales. Il faudra nous assurer que les plateformes électorales correspondent à nos revendications et à nos valeurs syndicales. J’entends aussi m’engager à fond dans le dossier des langues officielles et à faire respecter le droit de nos membres de travailler en français. C’est un dossier qui me tient à cœur. »

L’AFPC-Québec compte plus de 40 000 membres répartis presque également entre les secteurs de la fonction publique fédérale et des sections locales à charte directe.